dimanche 12 octobre 2008

Bamako, c'est le point rouge sur le grand carré blanc, là !

Voici à quoi ressemble Bamako dans Google Maps ... Pas la peine de zoomer, il n'y a rien à voir de plus que du blanc et trois traits jaunes. Un peu comme la "terra incognita" sur les cartes marines des explorateurs au XVème siècle.

Enfin, la question est : "Pourquoi avons-nous choisi de partir au Mali, alors que, l’une comme l’autre, n’avons jamais mis le dixième d’un doigt de pied en Afrique ? "

Sur un coup de tête, on peut dire ! Au mois de mars, Sarah venait de commencer sa formation en “web design”, qui devait durer sept mois, sans interruption. Donc pas de vacances en perspective. Nous devions donc faire le projet d’un grand et beau voyage, pour nous donner le courage d’affronter ces longs mois de labeur ! L’idée du Mali est venue parce que nous étions tombées, l'année dernière, sur un album de Toumani Diabaté, que nous sommes ensuite allées voir en concert à Créteil. Il y avait une belle ambiance, autour de ce musicien avec sa kora, tant dans la salle que sur la scène. Et puis, le pays dogon et Marcel Griaule, Tombouctou, la cité du désert, la grande mosquée de Djenné ... qui n’y a pas rêvé durant son enfance ?

Nous devons arriver à Bamako mardi soir, vers 20h. Direction l'auberge Djamilla, recommandée par nombre de voyageurs aimant les choses simples et authentiques, sur pas mal de forums de voyages ainsi que dans le Guide du Routard. Si nous réussissons à nous débrouiller avec le taxi, qui doit être, en principe, notre première expérience du marchandage (cela me fait horreur ... mais puisqu'il faut en passer par là), ce sera notre premier stop. Puis, le jeudi, direction Djenné et l'hôtel Djenné Djenno.

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